La vie de Chicot et sa femme Phémie, réglée au rythme du travail des champs, laisse peu de place à l'improvisation. Dans un souci de prévoyance et alors que le beau-père de Chicot est à l'agonie, celui-ci fixe son enterrement au surlendemain. Le lendemain, tout le village est mis au courant du décès du beau-père qui continue pourtant à respirer et, quand arrive le jour J, il est trop tard pour tout annuler. Les premiers invités se présentent, commencent à boire et à manger et visitent l'homme certes mourant mais toujours en vie. Finalement, ce qui devait arriver arriva et le maire doit alors modifier l'état civil qui indiquait depuis deux jours déjà la mort du «vieux»...